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Theatre spectacle : C\'EST DU PROPRE 2 !
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Bureau national des allogènesStanislas CottonMise en scène Vincent Goethals - AvecSolo Gomez, Baptiste Roussillon,Tadié Tuéné -  Scénographie Jean-Pierre Demas - Lumières Philippe Catalano - Environnement sonore Bernard Valléry - Costumes Dominique LouisRecherche fonctionnaire, droit, intègre et scrupuleux pour remplacer collègue défaillant... Tout pourrait commencer ainsi dans le monde bureaucratique des allogènes. Les questions de l’immigration clandestine et de la mauvaise conscience occidentale sont à l’origine du texte de l’auteur belge, Stanislas Cotton. À travers des personnages hauts en couleurs, Vincent Goethals donne à entendre une pièce vive, ludique, inventive qui ne renie pourtant jamais la gravité de son propos. Rigobert Rigodon mène une vie sans souci : marié, un enfant… et fonctionnaire au centre de tri des étrangers. Mais voilà qu’il saute du 6e étage du ministère, geste fatal, état déplorable, désordre ! Pourtant, l’âme du défunt flotte pour raconter sa rencontre avec Barthélemy Bongo venu lui demander si, en tant qu’être humain, il pouvait rester ici… Stanislas Cotton écrit Bureau national des allogènes en réaction à la campagne de régularisation des immigrés, lancée fin 90 en Belgique. Campagne hypocrite et démagogique. Comme Dario Fo, Stanislas Cotton s’empare de questions politiques en y ajoutant la dérision, l’humour grinçant, le burlesque. Entre l’extrême drôlerie et la douceur apaisante du chant de la femme qui traverse l’histoire, Vincent Goethals et ses comédiens se sont laissés emporter par l’écriture singulière de cette pièce au sujet brûlant : « Au départ j’étais plus attentif à la rythmique du texte, à la polyphonie, au côté “oratorio”. C’est presque par surprise, qu’est survenue la dimension clownesque », explique le metteur en scène. En effet pour l’auteur « Pas question de manichéisme. Les deux personnages sont à la fois détestables, aimables, enfermés dans leurs contradictions. Y’a pas de gagnant, y’a pas de perdant. Il s’agit de remettre l’humain au centre. »

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